La rédaction web utilise un ensemble de techniques qui doivent concilier deux objectifs très importants afin de créer des pages web efficaces :
Supposons que vous cherchiez à savoir où acheter des citrons de Menton pour fabriquer une confiture dont vous avez entendu parler…
Si vous tapez “citrons de Menton” dans la zone de recherche de Google, vous allez obtenir toute une série de réponses qui pourront tout aussi bien être :
Ce dernier choix ressemble à ce que vous cherchiez, aussi vous allez cliquer sur le lien d’un de ces magasins vendant des confitures.
Le webmaster de ce magasin verra bien votre clic dans ses statistiques de consultation, mais comme vous aurez simplement lu la recette proposée avant de partir ailleurs chercher un vendeur de citrons (vous voulez faire la confiture vous même), il va se désespérer…
Le marketing va organiser des ‘brain storming’ et des analyses de résultats à n’en plus finir afin de comprendre pourquoi diable vous n’avez pas été jusqu’à la page de commande de ses confitures !
Pourtant, le rédacteur web SEO avait fait un super travail de recherche pour trouver des mots clés très utilisés !
Il avait vérifié la densité des mots clés, leur présence dans les titres, dans les ALT des images et même dans l’URL et la META DESCRIPTION de la page et en plus avec un logiciel de SEO qui lui a couté très cher !
Avant de vous lancer impulsivement dans la rédaction d’une page web, il va donc falloir vous poser un certain nombre de questions qui vous permettront de définir les objectifs que vous souhaitez atteindre.
Pour reprendre mon exemple précédent sur les mots clés, vous avez compris que choisir ‘citrons de Menton‘ comme mot clé principal était trop imprécis si vous ciblez des personnes souhaitant acheter ces fruits spécifiques.
Le profil d’internaute qui vous intéresse (le persona) est un homme ou une femme qui souhaite fabriquer une confiture de citron et non pas acheter de la confiture.
Il va donc probablement se poser les questions suivantes :
A vous d’entrer ces phrases dans Google et de voir quelles autres propositions de recherche vous fait le moteur.
Vous saurez ainsi quels sont les requêtes de recherche les plus souvent tapées par les internautes qui s’intéressent à l’achat de citrons de Menton.
Ce n’est pas plus compliqué que cela !
Une fois que vous savez à qui votre rédaction va s’adresser, il reste à définir une structure qui va amener progressivement et rapidement l’internaute à un acte d’achat (ou de clic vers tout autre objectif, telle qu’une inscription à une newsletter par exemple).
Essayez de vous souvenir de la dernière discussion que vous avez pu avoir avec un vendeur.
S’il connait son travail, il a probablement commencé par vous poser des questions pour comprendre ce que vous recherchiez.
Il a ensuite proposé un ou plusieurs articles en vous donnant tous les arguments pour vous convaincre que ces produits correspondaient bien à ce que vous recherchiez.
Il a sans doute comparé ces produits et mis en avant les avantages de l’un par rapport aux autres.
S’il était malin, il a peut-être éveillé votre crainte en vous disant qu’il n’y avait plus qu’un seul exemplaire ou bien il vous a complimenté sur votre parfaite connaissance du sujet pour vous donner l’impression que c’était vous l’expert et que vous faisiez le bon choix en achetant ce produit…
Au final, vous vous êtes retrouvé à la caisse, la carte bancaire à la main, très heureux d’avoir fait ce bel achat…
La rédaction web utilise des techniques similaires à celles de la vie réelle. Personnellement, j’utilise une méthode connue qui propose un schéma de rédaction efficace :
Dès le début de votre rédaction, vous devez susciter l’attention du lecteur.
L’internaute ne lit pas : il traverse diagonalement le texte d’une page en la faisant défiler avec la souris. Il recherche les mots qu’il a en tête.
Dans mon exemple, il recherche “citrons de menton” et de préférence avec un des mots “acheter”, “magasin de”, “où trouver”, etc.
A vous de placer ces termes clés dès le début de votre rédaction et dans les titres et sous-titres. De préférence accompagnés d’une belle illustration qui corresponde évidemment à ces termes.
L’internaute cherche avant tout à s’assurer qu’il ne perd pas son temps sur cette page.
Une fois rassuré, l’internaute va cesser de faire défiler la page et commencer à lire votre texte.
C’est le moment de lui présenter tous les avantages de VOS citrons de Menton : ils sont bio, ils sont réputés pour leur saveur, ils sont achetés par les plus grandes marques, etc.
Le choix des mots prend ici toute son importance. A vous d’utiliser votre fibre commerciale. Vous n’iriez pas proposer vos citrons en disant qu’ils ne sont que tout à faire ordinaires, n’est ce pas ?
Il faut utiliser des arguments pour convaincre. Préciser par exemple que ce type de citron convient particulièrement bien à la cuisson pour confitures.
Vos citrons de Menton sont réputés pour leur fraicheur désaltérante grâce à l’ensoleillement exceptionnel et au climat si agréable de cette région bénie des Dieux qui borde la Méditerranée !
L’internaute cherche non seulement des citrons de Menton, mais aussi la part de rêve qui va avec 😉
Vous venez justement de recevoir un nouvel arrivage, tout frais et qui risque de partir très vite. Ou bien vous avez prévu une offre promotionnelle limitée dans le temps.
Bref, si l’internaute ne se décide pas, il risque de rater l’occasion. Son désir va forcément s’éveiller 😉
Vous avez attiré l’attention, expliqué puis convaincu l’internaute qu’il pouvait acheter ces fameux citrons…
C’est donc le moment de lui proposer un acte d’achat (bouton ajouter au panier) ou de conversion (inscrivez-vous pour être le premier à savoir quand la prochaine offre arrivera).
Beaucoup de conversions ne vont pas à terme parce que les formalités d’achat ou d’inscription sont trop complexes.
Je vous conseille de ne pas chercher à tout savoir si votre nouveau client dès le premier formulaire.
Pour une inscription à une newsletter, l’adresse email est suffisante.
Votre nouvel abonné sera plus disposé par la suite vous fournir progressivement son nom, ses préférences et autres informations (attention à la législation sur les RGPD).
Cette méthode de conception rédactionnelle vous intéresse pour votre site web ?
Je peux vous indiquer rapidement quel budget serait nécessaire pour mon intervention :
Vous êtes arrivé(e) sur cette page et vous avez lue jusqu’ici. C’est donc que cette page correspondait bien à votre recherche et qu’elle a suscité votre intérêt 😉
Son mot-clé principal est ‘rédaction web exemple‘. Regardez dans Google, il est très demandé…
J’ai utilisé la méthode AIDA pour la construire, en effet :
Vous voulez faire remonter vos pages dans les classements de Google ?
Profitez de mon expertise en rédaction web optimisée SEO pour me demander dès maintenant un devis :
Le métier de consultant freelance a ceci d’extraordinaire qu’il permet une grande liberté de mouvement, dès lors qu’on possède une expertise reconnue. Parfois, une mission
L’intelligence artificielle s’immisce partout et il n’y a pas un jour où quelqu’un ne lui trouve de nouvelles utilisations. En tant que professionnel du référencement, je commence à me poser pas mal de questions… Le meilleur moyen d’y répondre est encore de faire un comparatif Bing / ChatGPT / Google pour comprendre ce qui va changer.
Le terme “Big Data” désigne des métadonnées informatiques dont le volume et la variété constituent de vraies mines d’informations pour les entreprises et organismes s’intéressant au comportement d’échantillons de populations.
Le Big Data permet d’effectuer des analyses prédictives basées sur la récurrence des statistiques observées, ce que ne permet pas l’informatique classique.
Pas une semaine ne passe sans qu’une attaque de hackers ou une dépêche d’agence sur un ransomware ne défraie la chronique. Un rédacteur web en cybersécurité ne manque donc pas de matière pour écrire !
La mise en oeuvre de mesures de cybersécurité est de plus en plus critique, non seulement pour les entreprises, mais aussi (on l’a vu dans la presse) pour les organismes publics, les pirates n’hésitant plus à s’attaquer à des hôpitaux ou d’autres sites stratégiques.
Les types de cybermenaces sont nombreux :
De plus en plus d’applications mobiles ou d’applications web sont construites à partir de plateformes de no-code qui permettent de créer sans avoir à programmer, uniquement en utilisant des composants pré construits (widgets) paramétrables et un processus d’automatisation (workflow automation) permettant à l’application de réagir selon les événements.
Ces applications sont souvent en mode SaaS, c’est à dire situées sur des serveurs accessibles à distance, ce qui évite au client final d’avoir à gérer la sécurité et la maintenance de matériel informatique.
IOT est l’acronyme pour désigner l’nternet des objets (Internet Of Things). Tout appareil connecté à Internet est un objet IoT. A ne pas confondre avec l’Internet des Objets Connectés (objets reliés via d’autres réseaux que l’Internet).
En 2020, l’institut Gardner prévoyait déjà plus de 50 millions d’objets interconnectés dans le monde. Cet acronyme regroupe en fait plusieurs familles :
